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Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur retrouvera un dossier de fond consacré à l'esclavage, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, expositions, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, cinéma, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,…
Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.
Sommaire :
L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ
MÉMOIRE DES LIEUX Stirling, la cité des héros écossais.
PORTRAIT Jacques Cartier, le Christophe Colomb français.
ENTRETIEN François Bousquet : « Il faut faire tomber les bastilles mentales »
DOSSIER L'esclavage au risque de l'histoire (avec des articles de Paul Villatoux, Jean-François Chemain, Nicolas Carrier, Bernard Lugan, Jean-François Niort, Philippe Conrad, Christopher Lannes et Pascal Le Pautremat)
LE TRAITÉ DE TRIANON Chronique de la Hongrie amputée
LE SIÈGE DE L'ALCAZAR Un défi à la République
LES ÉTATS DISPARUS Rien n'est éternel
HISTOIRE POLITIQUE Nationalistes après-guerre, la traversée du désert
AUTOPSIE D'UNE BATAILLE 19 décembre 1562, la « fort cruelle» bataille de Dreux
UN TABLEAU, UNE HISTOIRE Les Très riches Heures du duc de Berry, le mois de février
L'HISTOIRE AU CINEMA 6 films et des esclaves
L'ABOMINABLE HISTOIRE DE FRANCE Une chronique iconoclaste de notre Histoire
Les éditions de la Nouvelle Librairie viennent de publier, dans la collection de l'Institut Iliade, un ouvrage dirigé par Olivier Eichenlaub et intitulé Pour un réveil européen. Présenté par Philippe Conrad et Grégoire Gambier, il est complété par une postface d'Alain de Benoist.
" Vivre, aimer, servir, combattre, transmettre, conscients de notre double vocation d’héritiers et de refondateurs : tel est l’appel au grand réveil des Européens que lancent les auteurs de ce livre, membres ou amis de l’Institut Iliade. Les douze chapitres de l’ouvrage nous invitent ainsi à une réflexion actualisée sur les trois impératifs de la triade homérique définie par Dominique Venner.
Reconnaître la nature comme socle, c’est respecter les équilibres naturels et renouer avec la dimension communautaire de nos tarditions pour rebâtir la cité sur le fondement de notre identité.
Rechercher l’excellence comme but, c’est cultiver l’exigence envers soi-même et tendre à se dépasser pour renouer le fil de la continuité avec « ce que nous sommes », sous une forme toujours renouvelée, depuis des millénaires.
Viser la beauté comme horizon, c’est rompre avec l’utilitarisme bourgeois et refuser l’extension du domaine de la laideur, c’est adopter une éthique de la tenue et suivre la voie des « cœurs aventureux », déterminés à ré-enchanter notre monde et retrouver le sens sacré.
Il n’y a aucune fatalité au déclin des peuples et des nations d’Europe. Lorsque les lumières s’éteignent, les torches doivent s’embrasser !
Ont participé à cet ouvrage : Jean-Philippe Antoni • Alain de Benoist • Anne-Laure Blanc • Thibaud Cassel • Philippe Conrad • Olivier Eichenlaub • Paul Éparvier • Grégoire Gambier • Jean-François Gautier • Jean-Yves Le Gallou • Henri Levavasseur • Alix Marmin • Rémi Soulié • Guillaume Travers. "
Accueil | 2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
Colloque de l'Institut Iliade
La nature comme socle,
pour une écologie à l’endroit
Samedi 19 septembre 2020 de 10h00 à 18h30 Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
Programme :
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier dans leur collection Longue Mémoire un court essai de Philippe conrad intitulé Al-Andalus - L’imposture du «paradis multiculturel». Agrégé d'histoire et professeur à l’École de guerre, successeur de Dominique Venner à la tête de la Nouvelle revue d'histoire, Philippe Conrad est l'auteur de nombreux ouvrages dont Histoire de la Reconquista (PUF, 1999),Le Poids des armes : Guerre et conflits de 1900 à 1945 (PUF, 2004) et 1914 : La guerre n'aura pas lieu (Genèse, 2014).
" L’histoire d’al-Andalus est-elle celle du « paradis multiculturel » que l’on dépeint parfois ? Cet ouvrage déconstruit ce mythe et rétablit la vérité sur ce que fut l’Espagne sous domination musulmane entre le VIIIe et le XVe siècle. Couvrant huit cent ans d’histoire, il montre la cruauté du sort imposé au « dhimmi », le non musulman, chrétien ou juif : celui-ci fait l’objet d’un traitement juridique et fiscal spécifique, qui marque sa soumission. Il est couramment humilié et marginalisé. La Reconquista, que les Espagnols sont aujourd’hui sommés de renier au nom d’un « humanisme » supposé de l’islam conquérant, fut une libération, la possibilité d’un nouvel essor civilisationnel. "
Vous pouvez découvrir ci-dessous le premier numéro de la Revue d'Histoire Européenne qui vient de faire son apparition dans les kiosques. Trimestrielle, cette revue abondamment illustrée et à la maquette aérée, dirigée par Laurent Berrafato, vient combler le vide laissé par la disparition de la Nouvelle Revue d'Histoire. Chaque trimestre le lecteur retrouvera un dossier de fond, des articles variés, des rubriques régulières : actualités, interview, expositions, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, cinéma, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… Une initiative à soutenir !